«J’ai l’impression qu’on réinvente la roue. Ce travail pratique existe déjà mais n’arrive pas à émerger car jusqu’ici, c’est le volet le moins encadré, qui demande davantage de moyens. Ces expériences reposent jusqu’à présent sur les initiatives personnelles d’enseignants ou de responsables d’établissements. Il y a encore quelques jours, la tendance était plutôt de diminuer tout ça. Depuis 2012, ce n'était plus la priorité. On a eu tendance à considérer que l’éducation aux médias traditionnels était moins utile. L’accent étant porté sur la «numérisation de l’enseignement»: on considérait le numérique comme technologie, comme support d’enseignement plutôt que média en tant que tel.»
Via
CLEMI - Centre de Liaison de l'Enseignement et des Médias d'Information,
IRAM,
Jean-Claude Domenjoz,
Manuel Pinto